Améliorations prévues à une école francophone de la côte Ouest

L’École Notre-Dame-du-Cap, située à Cap Saint-George, dans la péninsule de Port au Port, recevra bientôt 103 000 $ pour l’amélioration de son système d’électricité.

« Le maintien de normes de sécurité modernes dans nos écoles est un processus continu », a déclaré l’honorable Joan Burke, ministre de l’Éducation. « Nous menons des consultations et des enquêtes régulières pour veiller à ce que les travaux requis soient effectués. Incidemment, des centaines de projets d’infrastructure sont effectués à tout moment partout dans la province. Ainsi, cette amélioration au système d’électricité est au nombre des 132 projets similaires approuvés depuis 2004, pour un investissement total de plus de 21 millions de dollars. »
 
Le contrat pour les travaux a récemment été attribué à la société Integral Energy Services Ltd.

« Voilà une excellente nouvelle pour les étudiants, les parents et les employés de l’École Notre-Dame-du-Cap, à Cap Saint-Georges », a indiqué Tony Cornect, député provincial de Port au Port. « Ce financement les rassure quant à la sécurité de l’école où ils ont choisi de faire leurs études. Je suis heureux que notre gouvernement continue d’appuyer une expérience scolaire positive par ces activités de financement importantes. »

Outre la nouvelle école francophone de 2,5 millions de dollars qui a ouvert ses portes l’an dernier à Happy Valley-Goose Bay et les travaux à l’École Notre-Dame-du-Cap, la ministre Burke a indiqué que d’autres écoles du Conseil scolaire francophone devraient connaître cette année des améliorations à leur infrastructure. Le toit du Centre éducatif l’ENVOL, à Labrador City, sera remplacé, et des fonds ont aussi été affectés à l’amélioration de son système de chauffage. Pendant ce temps, on prévoit moderniser le système de ventilation de l’École Ste-Anne, à La Grand’Terre à un coût de 267 000 $.

« Le gouvernement provincial appuie tous les programmes d’éducation en français et reconnaît, en particulier, que l’offre d’une éducation en français langue première à sa jeunesse francophone est déterminante pour le maintien d’une communauté francophone forte et dynamique à Terre-Neuve-et-Labrador », a déclaré la ministre Burke. « Nous sommes heureux de constater la hausse des inscriptions dans les écoles de français langue première, à mesure que les parents et les étudiants reconnaissent l’importance de conserver leur culture et leur patrimoine francophones. »

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